Dans la vallée de la Mort
Dimanche 25 mai :
Nous nous apprêtons à vivre un moment attendu avec impatience : le parcours de la vallée de la Mort.
Ce nom mythique nous fait un peu rêver….
Disons le tout de suite : la réalité était bien plus belle que le rêve!
Juste pour vous "appâter" un petit montage "résumé" de ce que nous avons admiré, les détails suivront...
Pour arriver à notre destination il fallait d'abord quitter Ridgecrest pour continuer à traverser le désert en franchissant quelques cols. Qu'on se rassure, la route était...américaine : large, revêtement impeccable et comme il n'y avait pas de raison de tourner...droite la plupart du temps!
Et là nous avons vécu tout le vieil imaginaire sur la Californie : les terres arides, la végétation rare, les montagnes pelées avec des lumières extraordinaires et des teintes merveilleuses. La traversée nous donnait un avant-goût de ce qui nous attendait.
Venez effectuer avec nous
L'arrivée sur la vallée de la Mort, que l'on domine tout d'abord de la route, fit monter l'émerveillement d'un cran. ce que nous ne savions pas encore c'est que les crans allaient se succéder de façon vertigineuse...
Notre premier étonnement fut de découvrir un certain nombre de fleurs. Manifestement il avait plu (cela arrive 4 jours par an!) et la végétation en avait profité.
Regardez :
La visite de la vallée de la Mort n'a rien d'une aventure : tout est balisé, la route vous emmène vers les principaux points d'intérêt et la foule est canalisée. Par chance le mauvais temps (et oui il ne faisait ni très beau ni très chaud à notre arrivée, beaucoup de nuages et un petit 22 tout à fait supportable)...les nuages allaient rester mais vers 14h la température allait grimper à 35 et rendre la visite un peu plus dure. Cependant cette température n'était pas extraordinaire puisque d'habitude elle dépasse allègrement les 40. Nous avions donc de la chance.
Notre périple allait donc nous menait successivement aux grandes dunes de la vallée, puis au "golden canyon", à l'ancienne fabrique de borax, au lieu appelé "la palette de l'artiste", au golfe du diable, à Badwater point, le point le plus bas des Etats-Unis pour finir par Zabrieski point, un promontoire d'où la vue était magique.
Suivez-nous avant de visiter chacun de ces points.
Roulez :
Je pourrais répéter à l'envie combien les couleurs, les formes des montagnes usées par le temps et les éléments, la brillance du borax (dépôt blanc à la surface des anciennes étendues d'eau), les ombres des nuages sur les monts et la vallée, constituaient des paysages sublimes mais parfois les mots ne suffisent pas à traduire ce que nous avons vu aussi peut-être vaut-il mieux vous emmener avec nous sur ces différents sites et vous laisser les admirer à votre convenance :
Un premier aperçu
Continuez avec :
Le golfe du diable et Badwater
C'est les yeux et l'esprit emplis de toute cette majesté que nous avons atteint le soir un hôtel assez improbable, en plein milieu du désert mais avec un petit lac bordé de pelouse...
Déjà les premières machines à sous avaient envahi l'endroit...
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